De bonnes nouvelles dans la hotte d’Aérocampus Aquitaine

Implantation en Suisse, partenariat avec Dassault, création d’un outil de formation dédié à des techniciens aéronautiques hélicoptères, arrivée de start up et lancement du chantier formation de l’hydravion ……l’Aérocampus, centre de formation aux métiers de la maintenance aéronautique, situé dans l’agglomération bordelaise, poursuit son expansion.

Une série de bonnes nouvelles a en effet été annoncée le 17 décembre dernier par son président Denis Guignot et son directeur général, Jérôme Verschave à l’occasion de la remise des diplômes aux jeunes, assurés de trouver un emploi tant le marché de la maintenance est en plein essor.
«  100 % de nos élèves en CAP, option avionique et systèmes, en bac pro et BTS ont obtenu leur diplôme. » Jérôme Verschave,
Fort de ce succès, Aérocampus Aquitaine, qui emploie 48 salariés et dispose pour 2016 d’un budget de 6 millions d’euros, se déploie à l’international.

  • Aérocampus a annoncé l’ouverture d’une entité en Suisse, Swiss Aérocampus, sur l’aéroport de Sion. Une convention  a été signée au terme de laquelle des formations et des passages d’examens se feront, sous couvert de l’agrément détenu par Aérocampus Aquitaine.
  • Le lancement d’un nouvel outil de formation, un simulateur de maintenance pour hélicoptères avec Airbus Helicopters et Telespazio a également été annoncé. Il sera ensuite déployé dans les unités d’Airbus Helicopters dans le monde. Telespazio est une société de services par satellite qui avait déjà installé, sur le site bordelais, « Earth Lab », un centre opérationnel intégré  pour la surveillance opérationnelle de l’environnement.
  • Dassault  a également choisi le centre pour former les 140 futurs mécaniciens des Rafale achetés par le Qatar ce qui représente un contrat de 8 Millions d’Euros.
  • L’Aerocampus va aussi accueillir sur son site une société de Montauban spécialisée dans les drones lourds, « SkyBIrds View ».  » Nous avons été séduits par la qualité de l’écosystème ici et dans les drones en Aquitaine « , justifie Stéphane Imbert, son directeur.
  • Grace au dispositif « seconde chance », un chantier de formation a aussi été lancé à Biscarosse pour la restauration de l’hydravion « Grummann Albatross », qui deviendra la pièce maitresse du futur musée de l’hydraviation.
  • Enfin, un nouvel hôtel, haut de gamme, a été inauguré au cœur du château, ce qui porte la capacité hôtelière du site à 300 lits.

Autant de bonnes nouvelles qui confortent l’attractivité de l’Aérocampus dans le domaine des industries aéronautiques.
(Source : Aqui et Sud-Ouest 18/12/2015)

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