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C’est une bonne nouvelle pour Bordeaux à l’heure de l’arrivée de la LGV à 2h de Paris ! La métropole bordelaise se hisse cette année à la 2ème place des métropoles régionales les plus attractives et entreprenantes pour les investissements étrangers. Bordeaux bénéficie de l’effet TGV bien sûr mais aussi d’une offre enrichie par les grands projets structurants qui porte ses fruits.
Le rang de Bordeaux s’améliore de 3 places
Selon le baromètre de l’attractivité publié chaque année par EY, Bordeaux se place après Lyon et avant les métropoles de Marseille, Toulouse, Nantes et Lille dans le classement des villes les plus entreprenantes pour demain.
Le positionnement de Bordeaux progresse fortement en 3 ans : Bordeaux était à la 6ème place en 2015, 5ème en 2016 et donc 2ème en 2017 avec 23% des suffrages des dirigeants interrogés.
Si l’Île-de-France confirme son rôle moteur dans l’attractivité de la France, en drainant plus d’un projet sur trois, les grandes métropoles régionales sont dynamiques et valorisent l’ensemble du site France, autant pour des fonctions industrielles que pour des fonctions à haute valeur ajoutée.
La France, Numéro 3 européen de l’investissement étranger
L’attractivité de la France se redresse fortement en 2017. Apres le Royaume Uni et l’Allemagne, elle est la 3ème destination européenne pour les investissements étrangers.
L’année 2016 a été marquée en France par une forte augmentation des implantations et des extensions annoncées par les investisseurs étrangers (+30 %).
Les 779 projets annoncés ont permis la création de 16 980 emplois (+24 %).
L’innovation constitue le principal atout pour la France avec un nombre de centres de R&D équivalent à celui de ses challengers.
La France conserve son 1er rang européen pour les implantations industrielles et l’économie numérique, l’énergie et la santé obtiennent l’assentiment des dirigeants étrangers.
L’image de la France à l’étranger est également sur la bonne voie, et « l’image projetée par la French Tech est un bon vecteur de la nouvelle attractivité française » pour Marc Lhermitte, associé chez EY.
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