En partenariat avec STMicroelectronics, le laboratoire de l’Intégration du Matériau au Système – IMS – travaille sur les puces électroniques de demain : elles seront minuscules, super-puissantes et économes.
L’enjeu de ces travaux de recherche est de taille : conditionner les communications du futur c’est à dire par hologramme.
L’avènement de la puce électronique a permis d’avoir des téléphones mobiles, puis ses progrès ont ouvert la voie des smartphones. Les nouvelles avancées sur lesquelles travaille l’IMS permettront de rassembler sur une seule puce électronique dont la taille doit être très réduite, l’ensemble des dispositifs de communication connus aujourd’hui et en particulier, la radiofréquence.
Le partenariat avec le géant STMicroelectronics donne au laboratoire de l’IMS les moyens financiers et les leviers techniques pour tester les résultats de ses recherches et industrialiser le process.
Source : Objectif / La Tribune